Il y a huit ans, je découvrais ce site archéologique avec mes parents. C’était en plein mois de juillet, à 9h30 du matin, la température extérieure avait déjà dépassé celle de mon corps. Le guide nous avait fait passer d’arbre en arbre, pour finalement nous abandonner, liquéfiés. Je dois avouer que je n’ai pas retenu grand chose, mon cerveau surchauffant avant même la mise en route.

Nous sommes le 15 novembre 2015, il fait 30 degrés et c’est avec plaisir que je reviens visiter ce lieu, toujours aussi inondé de touristes… Nous avons choisi l’option ‘je me colle à un groupe pour écouter ce que dit le guide’ en jonglant entre les différentes langues usitées.

C’est toujours aussi beau, et je suis toujours aussi impressionnée par l’immense terrain de jeu de balle. Ici, il était quasi impossible de mettre la balle dans le rond. Tout était fait pour nourrir la terre du sang des joueurs-guerriers. L’influence sanguinaire du peuple toltèque est palpable.

 

C’est sur ce terrain même que j’inaugure ma gourde-klaxon, pliable et accrochable: un cadeau de Caro qui pense à tout!

 

Le calendrier maya est d’une complexité rare, combinant un cycle de 260 jours à celui du soleil de 365 jours. Il ne reste que quatre livres prouvant les calculs mathématiques avancés, le reste ayant été détruit par les conquistadores.

 

Dans ce cenote, étaient jetés les corps des sacrifiés, adultes comme enfants, lors des rituels religieux.

 

Après avoir discuté pendant quelques heures l’achat d’un masque (et en avoir perdu son latin), Caro se frotte à l’épineuse question de quel magnet choisir…